Plus d’imagination mais surtout plus de moyens pour assouvir ou nourrir leur sexualité que les générations précédentes. Les films porno et les magazines « pour adultes » sont à remiser aux antiquités. La sexualité des jeunes passe, aussi, par la toile. Selon le sondage réalisé par l’Ifop, (24%) affirme avoir déjà eu des conversations à caractère érotique avec des inconnus, uniquement par téléphone ou internet. Un sur quart déclare également être déjà sorti avec des personnes rencontrées sur des sites de rencontres ou des réseaux sociaux. Pour ce qui est de visionner des films ou images pornographiques, la toile sert de catalogue virtuel. Plus de la moitié des jeunes interrogés (53%) affirment avoir déjà surfé sur un site web pour voir des films ou des images pornographiques.
Grands adeptes du porno sur internet, 69% des hommes reconnaissent y avoir déjà visionné des films. C’est le cas d’une femme sur trois. En revanche, seule une minorité de sondés se sert des nouvelles technologies pour immortaliser son corps ou ses ébats avec son partenaire. A peine plus d'un jeune sur dix (13%) déclare s'être déjà filmé ou photographié nu ou dénudé avec un ordinateur, une caméra ou un téléphone mobile. Un chiffre qui chute à 4% pour la réalisation de photos ou de vidéos des ébats sexuels.
Cette étude souligne également deux tendances: une généralisation des pratiques masturbatoires, notamment chez les filles, et une bisexualité affirmée des filles. Près de trois quarts des jeunes (73%) disent ainsi s'être déjà masturbés, une activité plus facilement admise par les garçons (88%) que par les filles (58%) mais qui se banalise toutefois chez les femmes âgées de 18 à 24 ans (+25 points en 20 ans). Aujourd'hui, 18% des filles de moins de 25 ans avouent avoir déjà été attirées sexuellement par une autre fille, une proportion qui a doublé en 20 ans chez les adolescentes de 15-17 ans (12% en 2013 contre 7% en 1994). Toutefois, note l’institut de sondage, le passage du fantasme à la réalité reste plus limité .
Grands adeptes du porno sur internet, 69% des hommes reconnaissent y avoir déjà visionné des films. C’est le cas d’une femme sur trois. En revanche, seule une minorité de sondés se sert des nouvelles technologies pour immortaliser son corps ou ses ébats avec son partenaire. A peine plus d'un jeune sur dix (13%) déclare s'être déjà filmé ou photographié nu ou dénudé avec un ordinateur, une caméra ou un téléphone mobile. Un chiffre qui chute à 4% pour la réalisation de photos ou de vidéos des ébats sexuels.
Cette étude souligne également deux tendances: une généralisation des pratiques masturbatoires, notamment chez les filles, et une bisexualité affirmée des filles. Près de trois quarts des jeunes (73%) disent ainsi s'être déjà masturbés, une activité plus facilement admise par les garçons (88%) que par les filles (58%) mais qui se banalise toutefois chez les femmes âgées de 18 à 24 ans (+25 points en 20 ans). Aujourd'hui, 18% des filles de moins de 25 ans avouent avoir déjà été attirées sexuellement par une autre fille, une proportion qui a doublé en 20 ans chez les adolescentes de 15-17 ans (12% en 2013 contre 7% en 1994). Toutefois, note l’institut de sondage, le passage du fantasme à la réalité reste plus limité .
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